Des idées pour ses cours aux rappels du style « racheter des pâtes », le chaos qui règne dans la tête de Jill trouve ordre et structure dans son fidèle carnet de KEMPEN.
« Heureusement que je l’ai noté », telle devrait être la devise de Jill. Ses cours d’art sont aussi structurés que sa tête est chaotique. Pourquoi ses idées les plus créatives lui viennent-elles toujours aux moments les plus fous ? Elle a déjà essayé une centaine d’applications de prise de notes, mais rien n’a fonctionné. Elle préfère de toute façon laisser son smartphone à la maison. Qu’on lui passe son fidèle carnet de notes de KEMPEN, qui se glisse parfaitement dans son immense sac à main : il est stylé et a l’avantage de ne pas la déranger toutes les 5 minutes avec le « ding ! » d’une notification.
L’autre jour, alors qu’elle accompagnait ses enfants dans un parc de jeux couvert (au secours !) le labyrinthe de jeux l’a frappée : c’est du cubisme à l’état pur ! Et si ses élèves concevaient une maquette similaire, mais inspirée par Mondrian, et si... et si... Dans ce genre de moments, sa tête s’emballe. « Il faut que je le note ! » Elle esquisse rapidement le projet, décrit l’idée en quelques mots, dresse une liste des choses à faire à côté, puis élabore le concept dans son intégralité, une fois à la maison. Ces idées soudaines sont généralement au départ de ses leçons les plus passionnantes.
C’est ce qu’elle préfère dans l’enseignement de l’art : la liberté. Elle n’a jamais pensé qu’elle deviendrait enseignante (elle se voyait dans la décoration d’intérieur ou dans la mode), mais aujourd’hui, elle ne peut plus imaginer une autre vie. Plus ses idées sont folles, plus les élèves sont enthousiastes.
“ heureusement, elle l’avait noté ”
Quand l’un de ses élèves lui a dit qu’elle n’était « pas aussi relou » que d’autres professeurs et qu’ils pouvaient même chiller avec elle (si elle avait 20 ans de moins, probablement), elle l’a pris comme un compliment. Non pas qu’elle sache exactement ce que veulent dire ces mots bizarres. Mais, « heureusement, elle l’avait noté ». Elle écrit discrètement toutes les expressions et tous les mots étranges de ses élèves dans la marge de son carnet et en recherche la signification pendant les pauses. À la prochaine évaluation, elle peut ainsi mentionner le plus naturellement du monde que ses élèves ont à nouveau tout cartonné. De quoi leur faire dire entre eux : « Wow, la prof d’arts plastiques, elle n’est vraiment pas relou ». Non ?
Jill utilise BLUE NOTE Pocket parce que le bleu apaise et apporte l’équilibre à son cerveau bouillonnant. Pour pouvoir noter ses idées n’importe où et n’importe quand, elle a opté pour la petite version lignée.
Vive le carnet de notes ! Nos ambassadeurs de KEMPEN vous le démontrent par le récit.