L'histoire de Georges

De son plant de potiron au calendrier annuel des semis : sans son carnet de KEMPEN, Georges se perdrait dans son propre potager.

Par tous les temps et en toute saison, Georges vous accueille avec plaisir dans son potager. Il redoutait le fameux passage à vide qui suit la retraite. Logique : Georges et l’inaction, ça fait vraiment deux. Il n’y avait pourtant aucune raison de s’inquiéter : il s’est d’emblée consacré à son potager avec passion. Ce qu’il préfère, c’est travailler la terre à mains nues ou chercher les premières pousses de plants de tomates. Et, même s’il ne l’admettra jamais, il trouve aussi tout ce qui concerne la gestion du potager étonnamment amusant.

Le seul nuage à l’horizon ? Il lui arrive parfois d’oublier quelque chose. Comme l’année où il a raté toute une saison de fraises. Il serait dommage que ça se reproduise. Depuis, il note tout. Quelles tomates cerises ont bien donné cette année par rapport à cette autre variété qui a demandé un peu plus d’attention. Chaque jour, il consigne la température, les précipitations et même les oiseaux qu’il entend. Ses calendriers de semis et de récolte sont parfaitement tenus : il lui suffit d’ouvrir son carnet en début de semaine pour savoir ce qu’il doit faire. Il a voulu essayer des applications de temps en temps, mais Georges n’est pas vraiment féru de smartphones. Il ne capte pas le Wi-Fi dans sa serre. Cet épais carnet de notes de KEMPEN qu’il emporte partout ? C’est probablement l’un des plus beaux cadeaux que lui a faits son fils.

Le mois préféré de Georges ? Septembre : le soleil a brillamment fait son travail pendant des mois et le temps commence à changer. C’est le temps des récoltes. Les derniers légumes d’été s’offrent à lui : tomates, courgettes, poivrons, aubergines... Sa femme Léa en fait la plus délicieuse ratatouille du pays. Georges a noté avec précision les meilleures variétés et le nombre minimum de graines à semer. L’idéal, car toute la famille a déjà l’eau à la bouche en pensant à la « ratatouille de maman ».

“ Sans cette terre qui laisse des traces, nous n’aurions rien à manger ce soir  ”

Septembre, c’est aussi le début de sa tournée quotidienne des citrouilles. Léa aime le regarder travailler. À quatre pattes à côté de ces sphères orange géantes, il les inspecte minutieusement et dresse dans son carnet une carte qui en situe exactement chaque variété et indique si elle est prête à être cueillie. Elle lui dit chaque fois qu’il devrait prendre davantage soin de son carnet, car il finira plein de terre et de taches. Mais il s’en moque. Il trouve son « vieux carnet » tout à fait charmant, il faudra faire avec. « Sans cette terre qui laisse des traces, nous n’aurions rien à manger ce soir », dit-il. Que voulez-vous répondre à ça ?