L'histoire de Maël

Plus elle part loin, plus Maël veut garder des traces de ses périples. Des croquis de ses compagnons de voyage. Des billets de bus. Et même une déclaration d’amour éternel. Son carnet de KEMPEN l’accompagne partout.

Cool, pas de seconde session ! De longues vacances d’été (trop) tranquilles s’annoncent pour Maël. Avant de se lancer sur le marché du travail, elle veut voir l’Europe. De préférence toute l’Europe. Pas dit qu’elle y parviendra, mais elle compte bien essayer.

Dans le train qui l’emmène à Amsterdam, elle ouvre son carnet pour la première fois et écrit en haut de la première page en lettres capitales « Jour 1 : Bruxelles – Amsterdam ». Elle laisse un peu de place pour coller son billet de train et commence à écrire. Elle décrit à quel point tout est exaltant. Et qu’elle comprend déjà que sa famille va lui manquer. En face d’elle, une dame est assise avec un caniche vraiment très mignon. Pour passer le temps, Maël esquisse le caniche dans son carnet. Son premier compagnon de voyage.

D’Amsterdam, elle se rend au Danemark, puis toujours plus au nord. Plus elle est loin, plus elle veut en garder la trace. Les récits que racontent ses colocataires danois, mais aussi les bruits étranges autour de sa tente, un soir de camping sauvage. L’écriture la calme. Tout comme son nouveau mot préféré : Forelsket, qui désigne en norvégien l’euphorie que l’on ressent lorsqu’on tombe amoureux de quelqu’un. Mais Maël n’a pas le temps de tomber amoureuse (pas avant la Grèce, en tout cas).

Chaque visage est une histoire, chaque histoire est une page.

Au milieu de l’été, sur le bateau qui relie Helsinki à Tallinn, son voyage vers le sud commence. Les randonnées sous la pluie font place aux terrasses ensoleillées. Elle rencontre des gens super cool, tous avec des histoires émouvantes (ou parfois très drôles aussi). Arrivera-t-elle à tout raconter à son retour ? Bien sûr, car elle l’a écrit. Les nombreuses heures passées dans le train sont idéales : dessiner est l’activité parfaite pour faire passer le temps sur les rails. Son carnet de notes de KEMPEN devient une collection hétéroclite de visages : du caniche d’Amsterdam à l’homme au chapeau melon überchic de Prague. Chaque visage est une histoire, chaque histoire est une page. Et des billets de train, beaucoup de billets de train.

Trois mois semblent une éternité, avant d’être soudain presque terminés. La Grèce (ou plutôt un Grec) gagne son cœur. Elle y reste jusqu’à ce qu’elle doive vraiment rentrer chez elle. Elle n’écrit rien d’autre sur la dernière page de son carnet qu’un déchirant au revoir et mille s’agapó.

LIMITLESS

Large, Blanc

Maël utilise LIMITLESS Large parce qu’elle rêve d’horizons bleus à perte de vue. Rien de tel que de grandes pages blanches pour rêver et dessiner.

Trouvez un distributeur près de chez vous

Les ambassadeurs
de KEMPEN

Vive le carnet de notes ! Nos ambassadeurs de KEMPEN vous le démontrent par le récit.